6 janvier 2009
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19:11
J'ai reçu des voeux dont la formulation me semble si juste et nécessaire que je peux m'empêcher d'en faire part.
C'est ma nièce qui me les a envoyés. Prénommée Alice, je crois qu'elle doit avoir l'intuition des passages de l'autre côté, de la science des ouvertures.
Voici ces voeux :
Ce n'est pas un ordre, une injonction, cet énoncé est un souhait offert à notre liberté de l'accomplir. C'est un choix comme peut l'être, dans une direction opposée, la folie. Nous avons le choix de nous fermer à l'énergie extérieure et laisser fermenter, à l'intérieur de cette clôture, la haine, le malheur.
C'est un choix que de nous permettre de laisser une chance au bonheur de nous atteindre. C'est un choix tout ce qu'il y a de rationnel que de nous ouvrir à ce qui est bon pour nous.
Et, comme tout choix, cette ouverture est un risque ; en tout cas, c'est ainsi que nous voyons l'ouverture, la confiance qu'elle implique. Nous avons si peur d'être le dindon de la farce.
Le dilemne du prisonnier est une magnifique illustration de la rationalité du choix de l'ouverture et de la confiance.
Source Wikipedia (accès à l'article complet) :
Ce dilemne est un exemple célèbre de la théorie des jeux. Dans ce jeu, comme dans bien d'autres, il est fait l'hypothèse que chaque joueur ici appelé « prisonnier » essaye de maximiser ses bénéfices sans tenter d'en faire autant avec ceux de l'autre joueur.
L'ouverture au bonheur est d'autant plus un choix rationnel que cette confiance possède un important pouvoir de contagion. Un choix d'autant plus rationnel qu'il permet de laisser fleurir les vertus magiques des lois de la vie psychique.
Transmettez ces voeux à toute personne lucide et rationnelle :
C'est ma nièce qui me les a envoyés. Prénommée Alice, je crois qu'elle doit avoir l'intuition des passages de l'autre côté, de la science des ouvertures.
Voici ces voeux :
Ouvre (les portes de) ta vie au bonheur !
Ce n'est pas un ordre, une injonction, cet énoncé est un souhait offert à notre liberté de l'accomplir. C'est un choix comme peut l'être, dans une direction opposée, la folie. Nous avons le choix de nous fermer à l'énergie extérieure et laisser fermenter, à l'intérieur de cette clôture, la haine, le malheur.
C'est un choix que de nous permettre de laisser une chance au bonheur de nous atteindre. C'est un choix tout ce qu'il y a de rationnel que de nous ouvrir à ce qui est bon pour nous.
Et, comme tout choix, cette ouverture est un risque ; en tout cas, c'est ainsi que nous voyons l'ouverture, la confiance qu'elle implique. Nous avons si peur d'être le dindon de la farce.
Le dilemne du prisonnier est une magnifique illustration de la rationalité du choix de l'ouverture et de la confiance.
Source Wikipedia (accès à l'article complet) :
Ce dilemne est un exemple célèbre de la théorie des jeux. Dans ce jeu, comme dans bien d'autres, il est fait l'hypothèse que chaque joueur ici appelé « prisonnier » essaye de maximiser ses bénéfices sans tenter d'en faire autant avec ceux de l'autre joueur.
La forme habituelle de ce dilemme est celle de deux prisonniers (complices d'un délit) retenus dans des cellules séparées et qui ne peuvent communiquer.
- si un seul des deux avoue, celui-ci est certain d'obtenir une remise de peine alors que le second obtient la peine maximale (10 ans) ;
- si les deux avouent, ils seront condamnés à une peine plus légère (5 ans) ;
- si aucun n'avoue, la peine sera minimale (6 mois), faute d'éléments au dossier.
L'ouverture au bonheur est d'autant plus un choix rationnel que cette confiance possède un important pouvoir de contagion. Un choix d'autant plus rationnel qu'il permet de laisser fleurir les vertus magiques des lois de la vie psychique.
Transmettez ces voeux à toute personne lucide et rationnelle :
Ouvre (les portes de) ta vie au bonheur !